vendredi 9 mars 2007

"L'Homme qui voulait vivre sa vie" Douglas Kennedy

"L'Homme qui voulait vivre sa vie" Douglas Kennedy
Revenons à nos moutons...Mhéééééééééé 
Conseillé par une amie, j'ai donc lu ce livre qui a réussi à me tenir en haleine (j’en ai lu les 3/4 voir un peu +). 
Pourtant ce n’était pas gagné, dans l’histoire, la femme du « héros » le trompe. Moi les histoires de tromperies, je n’aime pas ça. 
Mais j’avais hâte qu’il le découvre et qu’il inflige une bonne correction à l’amant (Ceci était spécifié dans la préface). D’ailleurs au passage, j’aurais aimé qu’il donne une leçon à sa femme aussi. 
Non mais ! Je trouve qu’elle s’en sort bien, cette sale conne. lol

On a vraiment peur de marcher sur ses pas, de faire les mêmes erreurs, de se rendre compte un jour qu’on a raté sa vie et de passer ses journées à calmer des aigreurs d’estomacs (le faisant terriblement souffrir) symptomatiques…d’un état de remords et de haine ravalée.

Le texte est très bien écrits, à tel point qu’on pourrait croire que le récit dépeint vraiment la vie et les déboires de cet homme. Par exemple,lorsqu’il inflige ladite correction à l’amant, j’avais l’impression d’assister au « spectacle », j’en avais des hauts le cœur tellement c’est barbare. 
On a envie de savoir comment il va s’en sortir. 

Beaucoup de détails, de descriptions.Parfois un peu trop, ce qui alourdit la lecture et détourne le récit constamment. Ce qui m’a gêné le plus ce sont les noms des rues, des villes, tout ça ne me parle absolument pas, vu que je ne connais pas les États-Unis. Nous avons là un récit bien Américain, 100% pur jus. :D

Petite anecdote au court de ma lecture : Au début de l’histoire, l’auteur raconte les pleurs et cris du 2 ième fils de Ben. Ce dernier tente par tous les moyens de calmer son petit, en vain. Cette scène est tellement bien décrite, que j’en avais marre d’entendre hurler ce gamin ! 

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